Debout la République 11ème Circonscription du Pas de Calais - -Hénin Beaumont - Carvin

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Créé le : 27/07/2008 15:06
Modifié : 18/03/2012 16:44

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Amis restaurateurs, il est temps de répercuter la baisse de TVA

11/08/2009 16:14

Amis restaurateurs, il est temps de répercuter la baisse de TVA


J’ai milité pendant des années aux côtés des restaurateurs français pour leur permettre d’obtenir un taux de TVA réduit à 5,5 %. Leurs arguments m’avaient en effet convaincu.
J’ai salué à cet égard le succès diplomatique de la France et la ténacité du Président de la République qui a su obtenir l’accord de ses partenaires européens. Il faut en effet être objectif et savoir reconnaître quand un engagement est respecté.
Mais, après quelques jours de vacances, comme tous les Français, je constate que la plupart des restaurateurs ne jouent pas le jeu. Cette baisse de TVA qui coûtera en année pleine, 3 milliards d’euros aux contribuables, et donc au peuple français, n’est pas répercutée sur le consommateur. C’est un véritable scandale.
Le Gouvernement se félicite de voir la moitié des restaurateurs jouer le jeu, mais quand on regarde dans les faits, l’engagement de ces derniers ne porte que sur sept plats, et en général les moins attractifs !
Les restaurateurs de leur côté disent devoir investir pour mettre aux normes leurs locaux ou affirment augmenter les salaires de leur personnel. Mais là aussi, surprise : à part quelques primes, combien d’accords réels ont été signés ? Les fédérations professionnelles sont-elles capables de rendre des comptes ?
Cette légèreté dans l’application de cette décision, tant de la part du Gouvernement que des restaurateurs, donne une fois de plus aux Français le sentiment que notre pays est gouverné au gré des intérêts particuliers.
J’avais proposé pour ma part, un contrat entre le Gouvernement et les restaurateurs, où l’ensemble des prix aurait été systématiquement baissé d’un pourcentage représentant entre une moitié et un tiers de la baisse de TVA, le reste étant laissé aux restaurateurs pour la rémunération du personnel et les efforts d’équipement. Cela aurait eu le mérite de la simplicité. Les consommateurs auraient pu vérifier si leur restaurateur préféré jouait le jeu.
En définitive, parce je les ai toujours soutenus, j’ai le devoir de dire aux restaurateurs qu’il faut d’urgence changer de comportement s’ils veulent garder l’estime de nos compatriotes.
NDA





Au nom de la liberté !

11/08/2009 16:05

Au nom de la liberté !


Adresse à celles qui portent volontairement la burqa

Après que les plus hautes autorités religieuses musulmanes ont déclaré que les vêtements qui couvrent la totalité du corps et du visage ne relèvent pas du commandement religieux mais de la tradition, wahhabite (Arabie Saoudite) pour l’un, pachtoune (Afghanistan/Pakistan) pour l’autre, allez-vous continuer à cacher l’intégralité de votre visage ?
Ainsi dissimulée au regard d’autrui, vous devez bien vous rendre compte que vous suscitez la défiance et la peur, des enfants comme des adultes. Sommes-nous à ce point méprisables et impurs à vos yeux pour que vous nous refusiez tout contact, toute relation, et jusqu’à la connivence d’un sourire ?
Dans une démocratie moderne, où l’on tente d’instaurer transparence et égalité des sexes, vous nous signifiez brutalement que tout ceci n’est pas votre affaire, que les relations avec les autres ne vous concernent pas et que nos combats ne sont pas les vôtres. Alors je m’interroge : pourquoi ne pas gagner les terres saoudiennes ou afghanes où nul ne vous demandera de montrer votre visage, où vos filles seront voilées à leur tour, où votre époux pourra être polygame et vous répudier quand bon lui semble, ce qui fait tant souffrir nombre de femmes là- bas ?
En vérité, vous utilisez les libertés démocratiques pour les retourner contre la démocratie. Subversion, provocation ou ignorance, le scandale est moins l’offense de votre rejet que la gifle que vous adressez à toutes vos soeurs opprimées qui, elles, risquent la mort pour jouir enfin des libertés que vous méprisez. C’est aujourd’hui votre choix, mais qui sait si demain vous ne serez pas heureuses de pouvoir en changer. Elles ne le peuvent pas... Pensez-y.
 
Elisabeth Badinter
Source : Le Nouvel Observateur, semaine du jeudi 9 juillet





Changer les règles de la finance pour pouvoir changer les choses

10/08/2009 16:28

Changer les règles de la finance pour pouvoir changer les choses


Comment réglementer les banques ?
 

La crise financière a eu le mérite de révéler au monde que les règles prudentielles encadrant les activités des banques n’étaient clairement pas assez prudentes. Mais où placer la barre aujourd’hui.
Un manque de réglementation
Le montant minimum de capitaux propres dont doit disposer une banque est fixé depuis 1988 par le comité Bâle, qui regroupe les patrons des banques centrales. Les premières règles (ratio Cooke de 8% de fonds propres sur l’ensemble des engagements de crédit) a été remplacé en 2004 par les accords Bâle 2, dont l’idée est de prendre en compte le risque potentiel des différents engagements. Il faut donc noter que les hommes politiques ont abandonné la réglementation de la finance à leurs banques centrales.
Et clairement, l’automne 2008 a montré que les exigences de fonds propres étaient insuffisantes pour affronter la tempête financière que nous avons connue. Cette faiblesse est d’autant plus inexcusable que le monde a connu récemment de nombreuses graves crises financières qui auraient du permettre de fixer des règles suffisantes pour éviter que les Etats ne soient appelés au chevet de banques trop imprudentes. C’est dans ce contexte-là que The Economist étudie le niveau des ratios prudentiels.
Quel niveau pour les ratios prudentiels ?
Première nouvelle, l’hebdomadaire anglais affirme que les règles de Bâle autorise les banques à un ratio de capitaux propres sur actifs de seulement 2%, sachant que les gouvernements anglais et étasuniens demandent en général 4%, pondéré par le risque des actifs. Cela amène deux réflexions. Tout d’abord, le choix d’un mécanisme qui prend en compte le risque est extrêmement dangereux puisque ce même risque était largement sous-estimé avant la crise, ce qui aboutit à des ratios trop faibles.
Ensuite, il n’y a pas besoin d’être un Mozart de la finance pour comprendre qu’avoir des capitaux propres de l’ordre de 2 ou 4% des actifs est complètement insuffisant pour affronter une baisse des cours de bourse de 50% en moins d’un an, même si les actifs des banques sont diversifiés. Bloomberg a ainsi estimé qu’il aurait fallu des ratios de 10%, voir 12% pour que les banques n’aient pas besoin de l’intervention publique, ce qui reviendrait à limiter sérieusement l’effet de levier des banques.
Quelques pistes pour la réforme de la finance
Mais la réforme des ratios prudentiels n’est qu’un élément parmi d’autres pour remettre la finance au service de l’économie réelle, et non l’inverse. Elle est importante car elle limitera l’effet de levier, qui a joué un puissant rôle démultiplicateur de la crise et qu’il convient donc d’encadrer au maximum. Imposer aux banques de détenir 10 à 15% de capitaux propres sur leurs actifs serait un moyen très sûr pour réduire la taille des bilans des institutions financières et donc le risque qu’elles font peser.
Mais cela ne sera possible qu’en interdisant totalement le hors bilan, qui permet de tricher avec les règles (à un point les engagements hors bilan de Citigroup atteignait 1200 milliards de dollars, la moitié du bilan de la banque étasunienne). Ensuite, il faudra sans doute renoncer à la prise en compte du risque, qui n’est qu’un moyen de jouer avec les règles. De puis, il faudra encadrer la rémunération des banquiers pour limiter les comportements dangereux. Enfin, une taxe Tobin permettrait à la fois de limiter la spéculation et de faire davantage contribuer le monde financier à la collectivité.
Malheureusement, il est peu probable qu’un tel changement ait lieu : aucun des grands dirigeants de la planète ne semble être intéressé par une profonde remise en question. La réforme sera malheureusement a minima, ne nous prémunissant donc pas d’une nouvelle crise…
Source : The Economist, le 11 juin





A lire où à relire !

10/08/2009 11:16

A lire où à relire !


Mémoires

Auteur : Charles De Gaulle  
Editeur : Gallimard  
Date de parution : avril 2000  
Collection : Pleiade Bibliotheque  
Format : 11 cm x 18 cm  
Nombre de pages : 1505  
ISBN : 2070115836  
Outre un reflet précieux sur son époque, les Mémoires du Général De Gaulle sont le témoignage d’un brillant destin écrit par lui-même avec une maîtrise de la langue française rarement atteinte.

Sommaire : 

Mémoires de guerre : 

- L'Appel (1940-1942) 

- L'Unité (1942-1944) 

- Le Salut (1944-1946) 

 Mémoires d'espoir : 

- Le Renouveau (1958-1962) 

                        - L'Effort (1962-...)

 

 

 

 






La France dans le monde

10/08/2009 10:53

La France dans le monde


L’affaire Clotilde Reiss n’est qu’un épisode de plus démontrant la faiblesse de plus en plus caractérisée de la diplomatie française. Pourquoi cela ? Pourquoi la France a-t-elle perdue de son aura dans le monde ? 

Qu’il est loin le temps où tous les Etats respectaient et craignaient notre Nation. Entre 1959 et 1969, même les USA et l’URSS se méfiaient de notre réaction. Aujourd’hui c’est l’inverse, la Russie ne nous écoute plus, les USA nous méprisent, les Etats européens ne nous respectent plus et le tiers monde, où la France était jadis vue comme un médiateur privilégié, aujourd’hui nous  haïssent. 

Que s’est –il passé en 40 années ? 

La démission des élites face à la mondialisation forcée, la perte progressive de nos droit fondamentaux en matière d’Etat au profit de l’Union Européenne (Monnaie, frontières, économie,…), la perte de repères primordiaux par nos concitoyens, le renoncement aux valeurs qui ont fait notre République et depuis peu, pour ne pas arranger les choses, l’arrivée à l’Elysée d’un président américanophile et mondain. 

Voilà ce qui s’est passé ! 

Pour ne pas sombrer plus avant, il nous faudra enlever ce mal dont la France souffre. Pour cela, il nous faudra retourner aux fondamentaux qui ont fait la grandeur de la France. 

 C’est ce à quoi s’atèle DLR avec le Gaullisme comme boussole !

PW 






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